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Laurent, l’empêcheur de chanter en rond !

Né en 1961, à Paris, issu d’une famille catholique de cinq enfants, Laurent a découvert l’amour du chant dès son plus jeune âge. A 6 ans, il intègre un célèbre chœur liturgique, fondé par le père Joseph Gelineau à l’église Saint-Ignace : la chorale Mini-Hosanna. Il en deviendra l’un des solistes attitrés. Dans le même temps, il connaît la joie de chanter les psaumes, comme enfant de chœur, au cours de la messe dominicale dans la paroisse où il a été baptisé, à Saint-Pierre-du-Gros-Caillou. Après quinze années de pratique vocale et instrumentale (guitare et percussions), il se lance dans l’animation liturgique et décide de consacrer une large partie de son temps à l’écriture et à la composition musicale. Formé à la pastorale liturgique et sacramentelle par les jésuites Martial Rahialavy et Didier Rimaud, et par l’organiste Jacques Berthier, il devient l’élève de Jo Akepsimas (pour la musique) et de Gaëtan de Courrèges (pour le chant). Devenu membre de l’équipe nationale du Mouvement eucharistique des jeunes (MEJ), il enregistre ses premières chansons en 1986, et commence ses tournées en 1988. Depuis, de nombreux mouvements et diocèses ont choisi de faire appel à ses talents de chanteur et d’animateur.

Aujourd’hui, son répertoire est double : religieux et profane. Il est, à cet égard, l’un des rares artistes à se situer au carrefour de la liturgie et de la chanson chrétienne, aussi à l’aise sur une scène qu’au service de la messe. Soucieux d’améliorer la qualité des célébrations chrétiennes, cet amoureux des belles liturgies consacre une large partie de son temps à former des jeunes et des moins jeunes à l’art de célébrer. Fort de son expérience et de ses connaissances liturgiques et sacramentelles, Laurent joue également un rôle de conseil, auprès des communautés et des paroisses qui le lui demandent, pour mettre en œuvre des célébrations qui soient à la fois festives, profondes et conviviales. Auteur-compositeur, il est considéré comme l’un des principaux noms de la liturgie actuelle et a déjà créé une centaine de chants pour les rassemblements. Parmi les plus connus : « Dieu est une fête », « Tu fais de nous un peuple de témoins », « Prenons le large », « Marie, témoin d’une espérance », « Nous voulons vivre debout ! » ou « Mille raisons d’espérer ». Plus qu’un simple exercice esthétique, le fait de chanter ensemble représente, pour lui, une véritable expérience spirituelle. « Chanter, ce n’est pas prier deux fois, mais trente-six fois ! », a-t-il coutume d’avancer.

Dans le registre de la variété chrétienne, ses chansons s’inspirent de ses voyages et de ses rencontres tout autour de la planète. Car ce chanteur est également journaliste : loin de se contenter de décrire le monde, il voudrait contribuer à le transformer. « Comme les médias, la musique est un formidable moyen de communication », dit-il. « C’est un langage universel qui permet de franchir les frontières. A l’heure où certains ne parlent que de murs et de barbelés, je voudrais, dans mon métier de journaliste comme dans mon activité de chanteur, ouvrir des voies et bâtir des ponts ». Le dialogue des cultures et des religions plus fort que le choc des civilisations… Nourris de l’actualité, ses textes sont un appel à vivre ensemble, dans le respect des différences. Très marqué par le reportage qu’il a effectué au Rwanda, pendant le génocide de 1994, où il a côtoyé la haine et la misère humaine, ce journaliste-chanteur a déjà publié 15 albums de chansons. Mais pas question pour cet homme, qui déborde d’énergie et d’enthousiasme, de tomber dans l’angélisme ou la naïveté. « Mon travail d’information m’oblige à voir la réalité en face. Pourtant, comme chrétien, j’ai envie de regarder « au-delà » et de faire mienne cette parole de Gandhi : Un arbre qui s’abat fait beaucoup de bruit, toute une forêt qui germe, on ne l’entend pas. » Son reportage en Haïti, une semaine après le séisme qui a dévasté Port-au-Prince en janvier 2010, lui a donné envie de traduire en chanson ce qu’il a vu et entendu là-bas : « L’énergie de l’espoir » !

Même s’il attache beaucoup d’importance au « plaisir de la rencontre » et au fait de chanter ensemble, gratuitement, « comme on partage un bon repas », ce bourlingueur ne peut dissocier cette activité de son désir de transformer le monde. Plus qu’une passion, la chanson est pour lui un moyen de résistance, un engagement « politique », au sens le plus large du terme. En 1996, lors d’un voyage pour la paix en Israël et en Palestine, l’arabe Yasser Arafat et le juif Shimon Pérès ont entonné avec lui le même refrain : Salam ! Shalom ! Son engagement, lié à son métier de journaliste, l’a aussi conduit dans des lieux hautement symboliques, souvent inattendus. De l’université arabe de Bethléem à la basilique Saint-Pierre de Rome ; de Notre-Dame d’Alger à Notre-Dame de Paris (pour une célébration du 50e anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l’homme) ; des rues de Wroclaw en Pologne, en pleine guerre froide, aux rives du Gange à Bénarès, en Inde ; des bidonvilles de Sao Paulo à la cathédrale de Douala, au Cameroun ; de la chapelle du camp d’Auschwitz à la basilique Saint-François à Assise, du Mont Saint-Michel à la Sagrada Familia de Barcelone, de l’église des Invalides à la cathédrale de Saint-Denis à La Réunion, de Notre-Dame de Harissa, au Liban, à la cathédrale catholique de Bagdad, en Irak, Laurent Grzybowski n’a jamais renoncé à chanter sa foi en l’homme et en Dieu. Militant actif du dialogue interreligieux, il est sans doute l’un des rares à avoir été invité à interpréter ses propres chansons dans des mosquées ou dans des synagogues. Reçu en visite privée au Vatican, il a même contribué à faire chanter le pape !

Proche des jeunes, dont il connaît bien les rêves, les blessures et les espoirs, Laurent est un de ces témoins qui ne cherche pas à « convertir » ceux et celles qu’il rencontre, mais à « éveiller » quelque chose en eux. Et ça marche ! Alors qu’il a déjà donné plus de 1000 concerts, en trente-cinq ans, et vendu près de 100 000 albums, son calendrier est toujours plein un an à l’avance. Pas de quoi lui prendre la tête : cet empêcheur de chanter en rond cherche toujours à garder un langage simple et des moyens adaptés pour répondre aux appels qu’il reçoit. Même si vous n’arrivez pas à prononcer son nom (dites Jibofski !), vous aurez envie de reprendre avec lui ses chansons, qui ont le don de réveiller, en chacun, des énergies insoupçonnées. « Des milliards de chemins », « Des signes de fraternité », « Ouvrez tous ces verrous fermés », « Vivre debout ! » font partie de ses nombreux tubes. Une guitare qu’il aime faire vibrer, une voix chaude et sincère, une personnalité directe et rayonnante, Laurent finit toujours par allumer le feu. Qui l’écoute ne peut que se laisser ravir. « Ravir » veut-il aussi signifier « voler » ? Ne craignez rien ! Avec lui, un seul danger : que chacun se voit voler d’un peu de son indifférence.

La musique, un langage universel

Le répertoire de Laurent Grzybowski est double : religieux et profane. Il est, à cet égard, l’un des rares artistes a se situer au carrefour de la liturgie et de la chanson chrétienne, aussi à l’aise sur scène qu’au service de la liturgie. Dans le registre de la variété, ses chansons s’inspirent de ses voyages et de ses rencontres tout autour de la planète. Car ce chanteur est également journaliste : loin de se contenter de décrire le monde, il voudrait contribuer à le transformer. « Comme les médias, la musique est un formidable moyen de communication », dit-il.

« C’est un langage universel qui permet de franchir les frontières. A l’heure où certains ne parlent que de murs et de barbelés, je voudrais, dans mon métier de journaliste comme dans mon activité de chanteur, ouvrir des voies et bâtir des ponts ».
Le dialogue des cultures et des religions plus fort que le choc des civilisations…
Nourris de l’actualité, ses textes sont un appel à vivre ensemble, dans le respect des différences.

Chanter, un engagement pastoral

Laurent Grzybowski anime toutes sortes de rencontres, religieuses, interreligieuses ou laïques et témoigne dans des établissements scolaires (primaires, collèges ou lycées). Il assure également des formations liturgiques, joignant la théorie à la pratique, notamment pour des jeunes. Mu par sa foi en Dieu et en l’Homme, Laurent Grzybowski se déplace à l’invitation des paroisses, des diocèses ou des mouvements. Quand il chante en paroisse, Laurent fait volontiers appel à la chorale ou aux instrumentistes du lieu.

Faut-il parler de « concert », de « veillée » ou de « louange » ? Peu importe. Une chose est sûre : sa démarche est plus pastorale que culturelle, plus conviviale que « show-biz ». Il ne cherche pas à se produire, mais à témoigner de ce qui l’habite. Il propose avant tout une expérience : découvrir le bonheur de chanter ensemble, tous âges confondus. Il ne chante pas pour les enfants, mais pour tous ceux qui ont un cœur d’enfant… ou qui aimeraient bien le retrouver. C’est à dire pour toutes les générations. D’ailleurs, il ne chante pas « pour » mais « avec » un public. L’occasion d’une belle soirée en famille avec les grands-parents, les parents et les petits enfants.

Témoin de la fraternité

Lourdes 2014

Proche des jeunes, dont il connaît bien les rêves, les blessures et les espoirs, Laurent est un de ces témoins qui ne cherche pas à « convertir » ceux et celles qu’il rencontre, mais à « éveiller » quelque chose en eux.

Plus de 1000 concerts en trente ans, 80 000 albums vendus, pas de quoi lui prendre la tête : ce témoin de la fraternité cherche toujours à garder un langage simple et des moyens adaptés pour répondre aux appels qu’il reçoit. Même si vous n’arrivez pas à prononcer son nom (dites Jibofski !), vous aurez envie de reprendre avec lui ses chansons, qui ont le don de réveiller, en chacun, des énergies insoupçonnées.

« Des milliards de chemins », « Des signes de fraternité », « Ouvrez tous ces verrous fermés », « Vivre debout ! » font partie de ses nombreux tubes. Une guitare qu’il aime faire vibrer, une voix chaude et sincère, une personnalité directe et rayonnante, Laurent finit toujours par allumer le feu. Qui l’écoute ne peut que se laisser ravir. « Ravir » veut-il aussi signifier « voler » ? Ne craignez rien ! Avec lui, un seul danger : que chacun se voit voler d’un peu de son indifférence.

Biographie

Laurent Grzybowski

1961 : Naissance à Paris

1967 : Entre à la chorale Mini-Hosanna, à Saint-Ignace (Paris), dont il devient soliste

1969-1971 : Élève à l’école de prière de Troussures, dirigée par le père Henri Caffarel

1971 : Premier camp d’été avec le Mouvement eucharistique des jeunes – MEJ – (il en fera une vingtaine)

1975 : Découvre la guitare et commence ses premières animations

1979 : Passe son Bac à Paris

1980 : Accueille le pape Jean-Paul II, au nom des jeunes, au Parc des Princes, à Paris

1981 : Organise deux convois humanitaires en Pologne, après la répression contre le syndicat Solidarnösc, avec le soutien de RTL

1982 : Licence de philosophie à la Sorbonne

1982-1984 : Effectue son service civil, comme objecteur de conscience, dans un foyer d’accueil pour mères célibataires, à Paris

1985 : Anime un grand rassemblement MEJ au Zénith de Paris (4 000 jeunes)

1985-1988 : Membre de l’équipe nationale du MEJ (où il écrit et compose ses premières chansons)

1987 : DESS (Master de journalisme) à l’Institut Français de Presse
Premières messes TV avec « Le Jour du Seigneur » (France 2)
Rencontre avec Jean-Paul II au Vatican (25 ans du MEJ)

1988 : Premiers articles dans La Croix, comme journaliste
Rassemblement national du MEJ à Strasbourg « Pâques sans frontières » (4 200 jeunes), où il conduit une délégation de jeunes reçue officiellement au Conseil de l’Europe
Rassemblement de 10 000 enfants du catéchisme au Palais omnisports de Paris-Bercy

1989 : Premières tournées de chants
Festival off des Francofolies de La Rochelle
Pèlerinage vers Compostelle (JMJ), retransmis cinq semaines durant par France 2
Crée les premiers carnets de chants (vert et rouge) de la collection « Diapason »
Premier reportage au Liban pour couvrir la fin de la guerre

1990 : Premier album : « Europa »
Entre au groupe La Vie, comme journaliste
Crée, avec Philippe Warnier, le groupe d’intellectuels catholiques PAROLES

1991 : Anime le pèlerinage international Foi et Lumière à Lourdes (15 000 pèlerins)
Lance la première rencontre annuelle des « Chanteurs et comédiens en Église »

1992 : Deuxième album « Dieu est une fête ! »
Reportage en Israël/Palestine pour couvrir la première Intifada

1993 : Première croisière musicale et culturelle en Méditerranée

1994 : Reportage au Rwanda (génocide), pour lequel il reçoit le Prix Média-Europe de l’UCIP

1995 : Crée, avec Claude Bernard, l’Association des auteurs compositeurs de chants religieux et liturgiques (ACCREL)

1996 : Anime son premier des trois « Frat » (1996, 1998, 2000), rassemblant 10 000 lycéens à Lourdes

1997 : Écrit l’un des deux chants officiels des JMJ de Paris : « Maître qui nous aimes »

1998 : Troisième album « Fraternel »

1999 : Festival « Dieu est rock » à Saint-Jean-de-Bournay (38)
Anime les Journées nationales du scoutisme
Publie « Là où est ton trésor », 20 entretiens sur la spiritualité (éd. DDB)

2000 : Quatrième album « Vers l’autre rive » (live) + JMJ de Rome

2002 : Cinquième album « Des milliards de chemins »

2003 : Sixième album « Planète Espérance »

2004 : Second reportage au Rwanda (arrestation et emprisonnement à Kigali)

2005 : Festival de Pâques à Chartres / rock chrétien (première participation)
Septième album « Solidaires »

2007 : Festival de Pâques à Chartres / rock chrétien (deuxième participation)
Huitième album « Mille raisons d’espérer »

2008 : Nominé pour le Prix Reporters d’espoirs
Lancement de la première Spirit’Academy (camp de formation liturgique pour étudiants)

2009 : Écrit l’hymne officiel de la Fête des voisins : « Que la fête commence ! »

2010 : Neuvième album « Fais briller ta vie »

2011 : Compose un hymne en français pour les JMJ de Madrid : « Enracinés dans le Christ »
Compose le premier chant interreligieux francophone à l’occasion des 25 ans d’Assise : « La force de l’esprit »

2012 : Dixième album « Mes plus belles chansons bibliques »

2013 : Onzième album « Lève-toi et marche ! »

2015 : Douzième album « À ceux qui rêvent fin »
Participation aux Angels Music Awards (Prix de la chanson chrétienne) – 4ème place sur 70 candidats
Lancement de la première Fête de la fraternité à Paris, évènement interreligieux annuel en mai/juin

2016 : Création d’un chant pour la Sagrada Familia (Barcelone) et sortie d’un single

2018 : Treizième album « Hosanna ! Un vent de résistance »
Compose un chant islamo-chrétien intitulé « Tendre Marie de Nazareth »

2019 : Fête ses 30 ans de chansons à l’église Saint-Ignace (Paris) – 600 personnes
Pendant le confinement, publie plusieurs chansons collaboratives sur YouTube avec Godefroy Cisek
Publie avec Anne Guillard : « Une autre Église est possible – 20 propositions pour sortir de la crise catholique » (éd. Temps Présent) – succès de librairie

2020 : Quatorzième album « Près de toi, Marie »

2021 : Tournée post-confinement dans toute la France : « Déconfinons nos cœurs »

2022 : Quinzième album « Des chemins de fraternité »

2023 : Participation aux JMJ de Lisbonne
Participe à l’animation des festivités pour la venue du pape François à Marseille (22 et 23 septembre)

2024 : Rencontre en tête-à-tête avec le pape François au Vatican (12 janvier)
Compose une chanson pour la pastorale des Jeux Olympiques : « Debout, plus loin et plus haut » (album « Peuple de champions », février 2024)

2025 : Seizième album « Lumière de la paix » qui comprend notamment des chants pour le Jubilé. Création du chant « Pèlerins de l’espérance » pour le Jubilé 2025
Signe la musique du chant « Clameur des pèlerins » pour accompagner le rassemblement Clameurs des Scouts et Guides de France (20 000 jeunes de 17 à 21 ans).

Vous ne connaissez pas toutes mes chansons ?
Elles n’attendent plus que vous !